Son trafic passagers progresse de 2,4% en mai mais son coefficient d’occupation recule de 0,2 point en raison bien sûr de l’impact négatif des grèves. L’action reste sous pression et n’arrive pas à se redresser. Elle perd en effet près de 50% depuis le début de l’année avec une capitalisation boursière revenue sous les 3 milliards d’euros. Difficile d’acheter le titre dans la configuration actuelle même si la valorisation actuelle est bradée avec par exemple une Ve/ebitda de 3 aux cours actuels.
Air France KLM s’en sort bien
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