Comme une suite presque inévitable de notre précédente brève concernant la Deutsche Bank, le nouveau patron du N°1 de la finance allemande, John Cryan annonce que le groupe pourrait supprimer quelque 23 000 emplois (sur environ 100 000 dans le monde).
Cela représente presque un quart des effectifs : seraient éliminées en premiers des milliers de postes dans les fonctions « support » ou de back office (réduction drastique du coût des services informatiques), d’autres disparaitraient de l’organigramme suite à la scission de la filiale Postbank.
Et bien sûr, une bonne partie des milliers de salariés (allemands ou étrangers) travaillant dans la filiale russe qui va fermer (cf. notre précédent flash) devraient également perdre leur boulot.