Après un deuxième trimestre marqué par un recul de 2,1% de sa croissance organique, le géant de la publicité a renoué avec la croissance sur la période juillet-septembre avec une hausse de 1,3% de sa croissance organique. Suffisant pour faire bondir le titre de plus de 6%.
Le gain de nombreux budgets comme Carrefour ou encore Daimler est à l’origine de cette belle performance… Par ailleurs, une vente des activités de santé aux Etats-Unis regroupées autour de Publicis Health Services est à l’étude en raison de sa faible rentabilité. Je ne suis pas un aficionado du secteur, très disrupté par les GAFA… Certes, le titre n’est pas très cher avec une VE/Ebit de 8 mais ce n’est pas pour moi un argument suffisant pour le mettre en portefeuille.