Le Conseil d’Etat donne raison aux concurrents d’EDF s’agissant de la hausse des « tarifs bleus »: cela va dans le sens des démarches de Ségolène Royal visant à remettre en cause le principe d’une hausse annuelle de +5% (les +2% prévus au 1er octobre devraient être maintenus).
Mais pour les actionnaires d’EDF (FR0010242511) (qui chute de -3% ce vendredi), le cauchemar continue : il s’agit bien d’une entreprise qui n’a aucune maîtrise de ses coût et de ses marges, lesquels sont perpétuellement remis en question par le facteur politique… avec une succession de décisions et d’invalidations n’ayant aucune logique industrielle.
Ph.B