L’annonce de la démission du gouvernement d’Edouard Philippe est tombée en pleine cession à l’Assemblée nationale.
Les ministres présents ont donc dû se lever de leur banc et quitter l’hémicycle car ils n’ont de facto plus le droit de s’y asseoir (ni de répondre aux questions qui leur sont adressées par les députés) : ils ne sont plus que de simples citoyens et n’ont plus accès qu’aux travées réservées aux visiteurs.
Un scénario sans précédent… et qui n’émeut pas la Bourse de Paris, qui ne réagit même pas sur la nouvelle. La preuve que la ligne politique du futur gouvernement n’est pas anticipée très différente de celui qui vient d’être dissous.