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Il y a quelques semaines, Dixons, l’actionnaire principal de Pixmania, s’interrogeait sur le fait de vendre ou de fermer sa filiale. Les résultats de Rue du Commerce (FR0004053338), en dépit d’un changement d’actionnariat, restent en perte… Comme vous pouvez le constater, les nouvelles reçues du secteur du high-tech online sont plutôt moroses. Pourtant, dans ce secteur actuellement en proie à de grosses difficultés, une société s’en sort plutôt bien et peut même se targuer d’envisager l’avenir sereinement. Il s’agit du Lyonnais LDLC (FR0000075442).
• Un excellent exercice 2012-2013
La semaine dernière, le groupe a publié des résultats annuels de très bonne facture. Jugez plutôt : son chiffre d’affaires annuel a progressé de 17,5% à 207,8 millions d’euros tandis que son résultat opérationnel a bondi de 39,6% à 7,4 millions d’euros. Même tendance pour son résultat net en hausse de 40,6% à 4,5 millions d’euros. La rentabilité n’est pas en reste. La marge opérationnelle, par exemple, est passée de 3 à 3,7% en un an. Voilà un beau tour de force dans un secteur où il est vraiment difficile d’augmenter aussi fortement ses marges !
Quel est le secret de LDLC ? Le groupe est tout simplement resté fidèle à son coeur de métier et n’a pas, contrairement à certains de ses concurrents, succombé à la tentation de la diversification à outrance. En effet, pour Olivier de La Clergerie, Directeur Général du groupe, « dans un marché high-tech, qui connaît une fragilisation de la concurrence généraliste, le groupe a su gagner des parts de marché en réaffirmant son positionnement de spécialiste ».
• Un pure player on et off line
Positionné depuis 17 ans sur le secteur du e-commerce, ce pure player est aujourd’hui un acteur incontournable de la vente de produits high-tech sur Internet. Il possède également deux points de vente physiques à Lyon (depuis 1998) et à Paris depuis (2006). Mais cela ne suffit pas au groupe qui est résolument décidé à renforcer son réseau off line. LDLC vient d’ailleurs d’ouvrir tout récemment une nouvelle boutique à Villefranche-sur-Saône. Le tout pèse 8,3% du chiffre d’affaires, soit 17,2 millions d’euros. Et ce positionnement off line devrait s’accentuer via la franchise.
En effet, comme je vous le disais en juin 2012, LDLC s’est lancé dans « le déploiement en France d’un réseau de magasins physiques sur le modèle de la franchise ». Pour faire simple, le franchisé investit autour de 0,14 million d’euros pour ouvrir sa boutique LDLC. Ensuite, ce dernier reverse chaque année environ 4% de son chiffre d’affaires au groupe – la direction estime que la rentabilité est effective dès la première année d’exercice. Cette stratégie, qui prévoit l’ouverture de 40 magasins d’ici à 2017, devrait permettre au groupe de franchir le cap des 500 millions d’euros de chiffre d’affaires dans le même intervalle. La rentabilité n’est pas oubliée avec un objectif à 5% en marge opérationnelle.
LDLC, dont l’ambition affichée est de devenir le leader français des produits high-tech off et on line, devrait également se renforcer cette année dans le B to B – activité qui représente actuellement 38% du chiffre d’affaires. Il s’agit bien entendu ici d’accroître ses clients dans ce domaine afin d’augmenter mécaniquement le nombre de commandes.
• Une valeur au beau fixe
Côté Bourse, l’action n’a cessé de s’apprécier depuis plusieurs mois et se retrouve quasiment à son plus-haut depuis cinq ans, en progression de 198% sur la période. Par ailleurs, ses ratios ne sont pas trop élevé avec notamment un PER de 10 ou encore une VE/ROC de 6.
Ceux qui sont abonnés à Mes Valeurs de Croissance peuvent retrouver le long entretien que m’avait accordé le président du groupe il y a quelques mois dans le numéro du mois de décembre 2012…
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