L’absence de toute apparition médiatique depuis le 4 mars de Vladimir Poutine (peu après l’assassinat de son principal opposant politique) alimente toutes les spéculations : au mieux une love story, au pire un assassinat… Les noms des possibles comploteurs circulent déjà dans les rédactions.
Le renversement de Vladimir Poutine aurait pu constituer un séisme géopolitique majeur, le seul fait de se poser la question aurait suffi à provoquer une consolidation… autrefois.
Car aujourd’hui, et malgré les rumeurs de possible coup d’état alimentées par l’ambassadeur d’Israël en Russie et par Haaretz ce weekend, il n’était pas question pour les marchés de stopper leur course aux records, même pas durant une matinée.