Regain de tensions géopolitiques entre les Etats-Unis et l’Iran, ralentissement économique généralisé, épidémie de coronavirus (qu’il faudra appeler désormais « Covid-19 ») : les facteurs anxiogènes s’accumulent sur les marchés actions depuis le début de l’année.
Il en faut visiblement davantage pour perturber investisseurs et algorithmes, et on saluera la bonne résistance du CAC40, lequel affiche un gain de 1,6% à compter du 1er janvier relatif de prime abord, mais qui force le respect au regard du contexte.
Pour autant, et tandis que l’once d’or, plus que jamais valeur-refuge, a toujours les 1 600 $ en ligne de mire, on peut douter de voir l’indice phare faire aussi bien qu’en 2019.
De même, il est à craindre que les petites et moyennes capitalisations sous-performent les blue chips comme cela fut déjà le cas l’an passé et en 2018. La faiblesse persistante des volumes sur ce compartiment n’est pas encourageante, mais quelques smallcaps tirent tout de même leur épingle du jeu en ce début d’année.
C’est notamment le cas de McPhy, spécialiste des solutions de stockage d’énergie, dont l’action s’est envolée de… 55% en moins d’un mois et demi. L’ESN (entreprise de services du numérique) Umanis, véritable « highlander » du secteur créé en 1990 et qui, à la différence de nombre de ses pairs, a survécu à l’explosion de la bulle Internet, n’est pas non plus en reste, comme en atteste la hausse de près de 27% de son titre depuis le début de l’année.
Services gagnants
Il se trouve que cette valeur a quitté le portefeuille du service Penny Stocks Winners avant-hier, avec pour ses abonnés un gain global de 17%. Initiateur de cette lettre, Eric Lewin avait senti le coup venir et aura donc su « capter » le mouvement. Sa méthodologie, qui consiste à évaluer les valeurs qui cotent entre quelques centimes et 5 € par le biais de quatre critères (la qualité du management, notée sur 8 ; la situation économique, les ratios boursiers et la liquidité, chacun notés sur 4), a une nouvelle fois fait la preuve de son efficacité.
Dans un autre de ses services, MicroCaps Fortune, Eric Lewin a pris le parti audacieux de cibler les sociétés OPAbles, sous les radars des investisseurs et/ou qui peuvent se prévaloir d’une avance technologique. Depuis quelques mois, le « scope » s’est également élargi à des produits et petites valeurs liés aux matières premières, avec l’ambition de surperformer la hausse des cours de ces dernières. Là encore, notre expert est dans une excellente dynamique, avec déjà cinq plus-values depuis le début de l’année sur LNA Santé (+9,3%), Eurobio Scientific (+14% au global, avec un gain de 18% sur le solde de cette ligne pas plus tard qu’hier matin), Infotel (+10,5%), La Française de l’Energie (+10,6%) et Kaufman & Broad (+11%).
Il demeure par ailleurs positionné sur MGI Digital Graphic, avec ici une plus-value latente de l’ordre de 25%, et sur un certificat or de levier 5 pour lequel le gain latent s’élève à 14%.
Eric est en forme et enfile les gains comme des perles ces dernières semaines, ce qui n’était pourtant pas une mince affaire au regard du comportement des Bourses en général, et des petites et moyennes capitalisations en particulier.
Pour décrié et délaissé qu’il soit, ce segment recèle – et recèlera toujours – de belles opportunités que vous pouvez saisir. A condition d’être bien conseillé, de les « attraper » au meilleur moment et d’avoir un money management exemplaire, mais cela, nous nous en chargeons !