Le Nikkei s’est hissé au-dessus des 18.000 points ce lundi matin (et hop, le Dow Jones est débordé d’une courte tête en valeur algébrique).
Grâce en soit rendue à des chiffres de croissance consternants (PIB qui dégringole -1,9% au lieu de -1,6%, révisé de -0,9% un mois auparavant) et des exportations en berne (-4,5%). Plus c’est pire, plus Tokyo s’envole : il ne manque plus qu’un bon Tsunami et un Fukushima II pour que le bonheur des investisseurs soit complet… et que le Yen plonge vers une parité rêvée de 200/Euro.
Heureusement, c’est la même chose chez le voisin chinois… en un peu moins brutal (mais à Pékin, les chiffres racontent la version officielle, pas la réalité de terrain).