L’action abandonne près de 50% à 1,80 euros, soit une capitalisation boursière de 54 millions d’euros. Il faut dire que le spécialiste des drones grands publics a connu un troisième trimestre épouvantable marqué par une perte nette de 51,8 millions d’euros, multipliée par trois. La marge brute reste très faible à hauteur de 21% et les perspectives sont plus que moroses… Il reste encore 171 millions d’euros dans les caisses du groupe mais une grande partie de ce montant est imputable à la cession pour 108 millions de la filiale auto motive… Les prévisions restent moroses avec une forte diminution des drones grand public sur 2019. Reste à se demander si les drones professionnels prendront le relais… De la dépend l’avenir de Parrot, bien sombre pour le moment.
1 commentaire
Bonjour
La loi « drone » est certainement pour une part du recul des ventes des drones grand public…………..