L’idée circule depuis quelques jours… et en fait, depuis que Michaël Bloomberg a annoncé se lancer dans la course à la Maison Blanche avec l’étiquette démocrate.
En effet, être à la fois candidat et posséder un média très puissant (avec un gros risque de manque d’objectivité) constitue un singulier « mélange des genres » qui est d’ores et déjà taxé de dangereuse asymétrie, voir de conflit conflit d’intérêt.
Microsoft a largement les moyens de se payer Bloomberg et diversifierait ses activités tout en générant de belles synergies dans le domaine des données numériques. Une nouvelle montée en puissance qui positionnerait Microsoft comme le plus sérieux rival d’Amazon dans le domaine du « cloud » et de la « data » en général, notamment auprès des entreprises.
Et la cible potentielle a également la réputation d’être très profitable et très bien gérée… tout l’inverse de l’opération de rachat de Nokia (division mobiles) en septembre 2013.