Quelques bonnes nouvelles, mais pas de direction claire
Cher lecteur, Hier, la course aux records s’est poursuivie à Wall Street avec un S&P 500 clôturant au-delà des 2 150 points. Les marchés américains ont profité de la bonne publication…
Cher lecteur, Hier, la course aux records s’est poursuivie à Wall Street avec un S&P 500 clôturant au-delà des 2 150 points. Les marchés américains ont profité de la bonne publication…
Alors qu’Alcoa donnera ce soir le coup d’envoi des trimestriels du second trimestre 2016 à Wall Street, le S&P 500 pulvérise d’entrée de jeu son précédent zénith absolu des 2134…
François Hollande et Manuel Valls, ainsi que la plupart de leurs homologues européens (réunis mercredi 29 juin pour le premier sommet « post-Brexit », et en l’absence de David Cameron), sont unanimes.
Le département du Commerce a revu à la hausse de +0,3% (de +0,8% vers +1,1%) sa dernière estimation de la croissance de l’économie américaine. Voici l’une des statistiques attendues aujourd’hui.…
Il semble évident qu’à 3 jours de la séance des 4 sorcières qui conclura vendredi ce 1er semestre 2016, les sherpas vont tout faire pour que Wall Street ne rate pas la dernière marché pour se casser bêtement la figure.
Jean François Bay, directeur de Morning Star, un garçon que je tiens en haute estime, vient de livrer ses prévisions sur l’évolution du CAC40 d’ici fin 2016. Dommage d’abimer l’optimisme…
Cher lecteur, Hier soir, Wall Street a emboîté le pas de l’Europe en terminant en nette hausse : le S&P 500 a signé au passage sa meilleure performance journalière depuis le…
La saison des publications pour le premier trimestre 2016 touche à sa fin puisqu’aux Etats-Unis, plus de 90% des entreprises du S&P 500 ont déjà publié leurs résultats en ce début semaine.
Du côté des publications trimestrielles, Safran (FR0000073272) et Orange (FR0000133308) ont agréablement surpris le marché. L’équipementier aéronautique a fait état d’une croissance organique de ses ventes de 6,7% au premier…
Après la fraude, la dissimulation et la corruption ayant caractérisé le comportement des banques entre 2004 et 2008, on aurait pu croire qu’une génération passerait avant que les banques rejouent à leurs petits jeux. Eh bien, non. Elles s’y sont livrées à grande échelle (en pire, en réalité) et les investisseurs vont se prendre une claque pour la deuxième fois en moins de 10 ans.
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