Attendu de longue date, le feu vert à la fusion « sans condition » entre AT&T et Time Warner (en dépit d’un avis initialement négatif du Département américain de la Justice et bien plus négatif encore de Donald Trump) semble relancer la fièvre spéculative sur la concentration dans le secteur des médias ou des « réseaux » au sens large.
Beaucoup d’entre eux qui peuvent faire figure de cible, comme JD.Com, sont de surcroît cotés sur le Nasdaq.
Cela pourrait expliquer une nouvelle fois la surperformance de l’indice, qui vient de pulvériser un nouveau record absolu à 7 735 points, et cloue littéralement sur place le Dow Jones.
La chute de la productivité US plombe l’ambiance ? Fangman l’assomme d’un coup de Nasdaq