Fin novembre dernier, VIVENDI (FR0000127771) s’échangeait autour des 19 euros (pastille rouge). Dans l’analyse et le plan de trade que je vous partageais à l’époque, je vous disais attendre un retour sur les 17,5 euros pour passer à l’achat avec un premier objectif à 19 euros avant de viser ensuite les 22 euros.
Par la suite, les prix ont brutalement chuté sur les 17,5 pour toucher les 17,4 euros au plus bas (pastille verte) avant de repartir immédiatement à la hausse et toucher l’objectif des 19 euros – où la moitié de la position a été soldée permettant d’empocher au passage plus de 8% de plus-value.
Qu’en est-il maintenant ?
Une consolidation s’est mise en place début 2014 à partir des 21 euros, ramenant ainsi l’action sur son ancienne résistance – devenue support – de la zone des 19 euros (rectangle violet).
Ce support des 19 euros correspond également au support du canal haussier rouge mais aussi, et surtout, au support de l’axe de propagation des impulsions (segment vert dans la fenêtre MACD).
C’est cette méthodologie toute particulière de construction et d’exploitation des axes de propagation servant à détecter des points d’entrée sur les marchés que je vous expliquerai en détail dans le prochain webinaire « Système d’Impulsion ». Il sera mis à votre disposition dès le week-end prochain. Vous pouvez vous y inscrire en vous rendant sur cette page.
Toujours est-il que c’est très précisément le support de cet axe de propagation qui a occasionné les principaux rebonds de l’action depuis mi-2011.
Que faire sur l’action ?
Au vu des conditions actuelles sur les indices, je resterai très prudent et ne conserverai la seconde moitié de la position prise à 17,5 que SI et seulement SI la MACD donne un nouveau signal de hausse en se retournant sur son axe de propagation. Et ce, dans les 3-4 jours à venir au maximum.
Si ce signal n’intervient pas dans ce délai, les supports auront une forte probabilité d’être ensuite cassés.
En attendant, vous pouvez remonter votre stop vers 18,4 euros pour protéger le restant de la position et assurer ici aussi une plus-value de l’ordre de 6%. C’est en tout cas ce que je fais.