Il faut bien faire rêver les marchés… et surtout offrir aux « grosses mains » l’occasion de saisir fermement la barre qui actionne la sortie de secours pendant que les autres opérateurs s’affolent dans le noir.
Après la gigantesque intox de lundi dernier (« la Grèce ne peut pas ne pas accepter le compromis que les créanciers lui imposent, le Grexit est formellement exclu »), voici que Juncker vient murmurer aux oreilles des vendeurs tétanisés : « il y a encore des l’espoir, j’ai des propositions à formuler ».
Ébranlés dans leur conviction baissière, les mains tremblantes renversent leurs positions à l’achat (après-tout, la BCE est là, elle pourrait porter son QE à 100 Mds€ par mois au besoin d’après une rumeur qui circule depuis samedi) : c’est toujours 2% de gagnés pour les vendeurs….
Plus d’infos sur le feuilleton grec…
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