Difficile de déterminer durant combien de temps les répercussions du « shutdown » de fin décembre à début février vont se faire ressentir sur la statistique officielle, mais les chiffres « bizarres » continuent de s’empiler.
Sinon, comment expliquer l’envol de +0,9% de la consommation des ménages américains (au lieu de +0,7% anticipé) alors que leurs revenus n’auraient progressé que de 0,1% en mars au lieu de +0,4% attendu.
Un « spread » revenus/dépenses de 0,8%, cela tient presque du miracle : moins on gagne plus on dépense… Ah, si, finalement, c’est très américain comme comportement !
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