Caterpillar

Les réactions aux publications trimestrielles seront à surveiller comme le lait sur le feu. Et comme nous avons pu commencer à nous en apercevoir la semaine dernière, les opérateurs ne…

Pour ceux qui doutent des chiffres d’activité revendiqués par la Chine, il est de coutume chez les investisseurs de décortiquer le chiffre d’affaire de Caterpillar (US1491231015-CAT) qui serait le meilleur…

Cette dernière semaine du mois de janvier, comme la dernière de chaque mois démarrant un trimestre fiscal est baptisée « earnings tsunami ». Le panel du jour n’est vraiment pas affriolant, c’est…

Cher lecteur, J’avais évoqué en fin de semaine dernière le cas de Faurecia (FR0000121147-EO), étrillé en Bourse malgré un relèvement de ses objectifs annuels, et Eric Lewin a jugé judicieux…

Début de séance compliqué pour plusieurs poids lourds de la cote américaine, alors que Donald Trump a, après quelques jours d’une relative accalmie, ciblé de nouveaux produits « made in China ».…

Lentement mais surement, le CAC poursuit sa progression. Graphiquement, malgré une certaine fébrilité hier après-midi sous les 4 580 points, la tendance demeure favorable.

S’il existe un titre qui constitue le plus fiable des baromètres s’agissant de la « réalité sur le terrain », c’est bien Caterpillar (US1491231015 CAT).

Ses ventes sont le reflet de l’activité économique (par le biais des secteurs du BTP, immobilier, minier, etc.) presque en temps réel et ses prévisions ont valeur de pronostic incontestable sur la croissance des prochains mois et trimestres.

La mauvaise nouvelle c’est que Caterpillar lance un business warning et abaisse sa prévision de chiffre d’affaires pour l’année 2015 de 1 Md$ à 48 Mds$ (soit -2,1%). Cela ne semble pas bien méchant mais le pire reste à venir : pour 2016, le groupe anticipe un recul autour des 5%…

Les commentaires trimestriels de Caterpillar (US1491231015 CAT) sur l’activité mondiale sont toujours éclairants. Non pas que les engins de chantier constituent une part majeure de l’économie mondiale… mais ils sont…

Conséquence ou non (ou sens de l’anticipation ?) de la chute inattendue de -3,4% des commandes de biens durables, Goldman Sachs revoit à la baisse son estimation de PIB américain…

Les actions, c’est désormais communément admis, sont délibérément pilotées à la hausse par la Fed — et dans une moindre mesure par la BCE, l’Europe jouant un peu le rôle du passager clandestin de ce rally haussier…